La
première fois que je l’ai vu, la mère de mon pote portait des
lunettes noires. Grande et fine, les cheveux corbeau, le teint sombre, les
traits sévères, elle m’impressionnait, d’autant plus que je la regardais comme
un type venant d’apprendre qu’elle était d’une certaine façon, morte.
Assise
sur le canapé de leur salon, les mains sur les cuisses, le dos droit, des
lunettes noires posées sur son joli petit nez, Mélissa regardait fixement un point
au-delà de moi. J’étais assis face à elle, sur un des deux fauteuils du salon,
mon pote occupant l’autre fauteuil.
Je
suis resté une bonne minute à la dévisager en me remémorant son histoire. Je me
suis dit que c’était impossible, qu’elle ne pouvait pas être morte à certains
moments de la journée comme l’avait affirmé Aurélien, son fils. De grosses
mouches vertes bourdonnaient autour de son visage et une odeur âcre se répandait
dans la pièce. Le tic-tac de l’horloge de la cuisine ajoutait un bruit inquiétant
à l’atmosphère glaciale du salon.
-
C’est cool non ? m’a dit mon pote.
-
Elle…elle est en état de stase, c’est ça ?
-
Ouais, ça peut lui prendre n’importe quand. Elle s’assoit et ne bouge plus, sa
peau devient jaune, elle commence à puer mais l’essentiel, c’est qu’elle M’OBEIT !
-
Je…je ne te crois pas.
-
Combien tu paries ?
J’ai
haussé les épaules, je n’avais rien à parier.
-
Si je dis vrai, tu me fais mes devoirs jusqu’à la fin de l’année ?
On
était en mai et il ne restait qu’un mois avant la fin des cours. J’ai donc
accepté.
-
Super ! Alors je lui demande quoi ?
-
Ce…ce que tu veux, ai-je balbutié.
-
OK. Maman, lève ton gros cul !
Elle
s’est levée assez sèchement, comme un automate. Aux bourdonnements incessants
des mouches se sont rajoutés les craquements de ses articulations. Si mon pote
a poussé un petit rire idiot, j’ai étouffé un cri.
-
Maman, lève un genou ! lui a-t-il ordonné.
C'est
ce qu’elle a fait. Elle portait une jupe assez courte et j’ai découvert les
coutures de son bas-nylon ainsi que le haut jaunâtre de sa cuisse. C’était à la
fois dégoûtant et... plutôt excitant pour un jeune homme de quinze ans.
-
Maman, va nous chercher un verre de lait !
Elle
a reposé son pied au sot et a obéi.
-
Un verre de lait ?
-
Oui, car si je lui avais demandé un verre de whisky, elle se serait réveillée.
-
Comment ça ?
-
Quand ma mère est dans son état de stase, je peux lui demander plein de trucs à
condition que ça ne la choque pas. Sinon, elle se réveille et redevient mon
insupportable mère. Si tu la connaissais mieux, tu verrais qu’elle est plus
sympa morte que vivante.
Je
connaissais Aurélien depuis l’école primaire et je n’avais entraperçu sa mère
qu’à deux ou trois reprises, lors des réunions parents-profs. Je me souviens
qu’elle lui tenait toujours fermement la main, le tirait assez sèchement par le
bras dès qu’il s’écartait un peu. Sa mère avait toujours refusé d’accueillir
ses copains dans sa grande et luxueuse demeure, jusqu’à moi, ce jour. La
veille, Aurélien m’avait raconté une histoire assez peu crédible. J’ai voulu la
vérifier et je dois avouer avoir eu tort d'en douter.
Mélissa
est revenue avec les verres de lait et les a posés sur la petite table en verre
qui séparait le canapé des fauteuils. On a trinqué et on a bu à la santé de la
défunte temporaire.
-
Je ne connais pas les détails de son séjour en Inde, mais je ne remercierais
jamais assez le type qui l’a rendu comme ça.
Ça
m’a ramené à l’histoire de la veille. Il y a un mois, sa mère est partie en
Inde pour un séjour méditatif dans un temple bouddhiste. Suivie par des psys
après sa première tentative de suicide, c’était le dernier recours avant
l’internement. Si Aurélien était émerveillé de son changement, moi, j’en étais
plutôt effrayé. Il m’a chuchoté à l’oreille que sa mère le frappait. Il ne l’a
jamais dénoncé à la DASS car il ne voulait pas vivre dans une famille d'accueil,
son père étant mort d’une chute dans les escaliers de cette grande demeure. L’intérieur
de sa grande maison était vraiment splendide avec tout un tas de dorures et un
carrelage étincelant.
-
Quand elle se réveille de son état stase, elle est toujours aussi nerveuse ta
mère ?
-
Non, elle est beaucoup plus calme qu’avant, m’a-t-il répondu, trop même.
-
Comment ça ?
-
Ouais, elle a toujours envie de baiser.
-
Hein ?
-
T’es pas majeur, t’as pas à savoir gros vicieux, s’est-il marré.
Ayant
une peur maladive des filles et encore plus des femmes, j’ai eu honte d’apprendre
ça, les choses de l’amour me gênant beaucoup. Toutefois, je ne pouvais m’empêcher
de regarder le corps étrange de cette femme mature. Même dans cet état, elle
était très désirable. Sa taille et son maquillage foncé me firent penser à
Morticia de la famille Addams.
-
Et pourquoi elle a des lunettes noires ? lui ai-je demandé.
-
Oh ça, c’est moi qui les lui mets à cause de ses yeux.
-
Ses…yeux ?
-
Ouais, si tu les voyais, tu te sauverais d’ici en courant.
Dans
mon souvenir, elle avait de magnifiques yeux verts en forme d’amande.
-
Tu veux les voir ?
Il
n’a pas attendu ma réponse, s’est levé de son fauteuil et a été retiré les lunettes
noires. Cette fois, j’ai crié. Deux globes oculaires sortaient de leurs orbites
et le blanc de l’œil avait viré au rouge sanguinolent.
-
Alors, elle est pas belle ma mère ?
-
Remets-les ! lui ai-je ordonné apeurer.
Il
s’est marré en s’exécutant avant de me dire :
-
Tu veux lui toucher les seins ?
-
Quoi ?
-
Ouais, tu vas voir, on dirait des éponges tellement c’est flasque.
Il
s’est penché et du bout de l’index a appuyé sur un sein à travers son chemiser
noir. Le bruit spongieux l’a fait rire, comme si ses seins avaient la
consistance d’une éponge imbibée d’eau. J’ai trouvé ça dégradant de toucher les
seins de sa mère, et pourtant, j'ai éprouvé une sorte de fascination dans cet
acte.
-
Allez, vas-y, essaie, m’a-t-il encouragé.
-
Sûrement pas !
-
Quoi, elle ne te plait pas mère ? s’est-il faussement fâché.
Bien
sûr qu’elle me plaisait sa mère, mais pas dans cet état morbide :
-
Elle me fait peur.
-
Bah t’a qu’à fermer les yeux et t’imaginer qu'elle est comme avant. Allez
grouille, elle ne va pas tarder à se réveiller.
Il
ne faut pas oublier que je n’avais que 15 ans et toucher les seins d’une femme,
était pour ainsi dire le Saint Graal pour un ado aussi complexé que moi. Je
l’ai donc pris comme un pari et après m’être assis à côté d'elle, j’ai approché
une main du chemisier quand…
-
Hé, j’rigolais s'pèce de porc ! m’a dit Aurélien en me poussant par
l’épaule
-
Moi aussi ! ai-je feinté.
Quelques
secondes plus tard, les mains de sa mère se sont crispées contre ses poignets,
ses doigts se sont recroquevillés dans ses paumes. Elle a commencé à trembler
comme si elle faisait une crise d’épilepsie puis elle est tombée assez
sèchement. Le bruit de sa tête a fait un drôle de bruit contre le carrelage.
-
Tu ferais mieux de déguerpir avant qu’elle ne t’arrache les yeux, car elle
déteste les étrangers ! s’est-il marré.
Impressionné
par cette scène, je suis rentré chez moi en courant comme un dératé. J’ai dû rassurer
ma mère en disant que j’avais fait un jogging avec Aurélien puis je suis monté
dans ma chambre. Une fois calmé, j’ai ouvert mon PC portable et j’ai lancé tout
un tas de recherches sur l’état de stase. Absolument rien ne le reliait à la pratique
de la méditation et le seul point en commun avec Mélissa était une sorte d’état
végétatif qu'on appelait le Nirvana. Aucun article ne mentionnait l’obéissance du
sujet dans cet état.
Il
n’était pas loin de minuit quand j’ai abandonné mes recherches. D’habitude, le
dimanche matin, je fais la grasse matinée, mais ma nuit avait été mouvementée
par des cauchemars où je voyais la mère d'Aurélien m’arracher les entrailles après
m’avoir initié à l’amour.
Je
me suis donc levé vers les 7 heures. J'avais vraiment la tête dans le cul. En repensant
la scène de la veille, une étrange idée m’est venue à l’esprit : et si la
mère d’Aurélien était morte en Inde ? Si elle avait succombé à quelque
chose d'anormal et que le maître du temple bouddhiste l’avait réanimé sans
toutefois y parvenir totalement ? Une partie d'elle vivrait dans l'au-delà tandis
que l'autre serait toujours dans la réalité ? Oui, c’était un raisonnement
complètement dingue, mais pour moi c’était la seule explication à ce phénomène irrationnel.
Il fallait absolument que j’en parle à Aurélien !
Mes
parents dormaient encore quand j’ai quitté la maison à 8 heures. J’ai marché
rapidement jusqu’à la maison de mon pote située à cinq minutes de la mienne. Un
peu avant d’arriver, je l’ai vu monter dans une voiture. Je l’ai appelé, mais il
ne m’a pas entendu. La voiture s’est rapidement éloignée. J'avais oublié que le
dimanche matin il jouait au foot.
J’ai
longuement hésité avant d’entrer dans le grand jardin qui entourait la demeure.
J’avais sans doute besoin de m’assurer que ce que j’avais vu la veille n’était
pas une mise en scène orchestrée par mon pote. C’était complètement stupide de
penser ça, car je voyais mal sa mère se prêter à ce jeu débile, mais je devais
sans doute me trouver une excuse pour valider ce que je m'apprêtais à faire.
Penché
en avant, j’ai trottiné jusqu’à la fenêtre de la cuisine et j’ai discrètement
passé un œil à travers la vitre : j’ai entraperçu le battement d’un
peignoir rose, sa mère venant de quitter la pièce. Je connaissais mal la maison
et j’ai joué au voyeur sur plusieurs fenêtres sans l’apercevoir. Il ne me
restait plus que la grande baie vitrée du grand salon. Le bruit d’un aspirateur
m’a confirmé qu'elle s'y trouvait. De biais par rapport à la baie vitrée, j’ai
vu un fil électrique serpenter sur le carrelage blanc. Comme le fil s’étirait,
j'en ai conclu qu'elle devait s’éloigner vers le fond du salon.
Poussé
par une curiosité malsaine, j’ai plaqué mon corps contre la grande vitre, les
mains autour des yeux. J’ai eu un choc en voyant sa mère passer l’aspirateur au
plafond. Ses gestes erratiques étaient inquiétants. Mais quelque chose a adouci
mon inquiétude : son peignoir était largement ouvert au col et
j’apercevais le ballotement magnifique des seins. De plus, le peignoir était
assez court et je voyais aussi l’intégralité de ses cuisses dorées. J’étais à
la fois charmé par sa beauté et inquiet de la voir aspirer le plafond.
Elle
a tourné sèchement la tête. Son regard noir m’a terrifié avant qu’un petit
sourire n’adoucisse son visage. Pétrifié, je ne savais plus quoi faire. Elle a
lâché le manche de l’aspirateur puis s’est doucement avancée vers moi, un petit
sourire sadique figé au coin de ses lèvres pulpeuses. Elle a doucement tourné
la poignée de la baie vitrée, l’a tiré pour la faire coulisser avant de me dire
d’une voix sensuelle :
-
Ça te dirait de t’allonger avec moi sur le canapé ?
J’ai
difficilement ravalé ma salive, j’avais l’impression de nager dans un rêve. Ou
un cauchemar si je repensais à la scène de l’aspirateur au plafond.
Elle
n’a pas attendu ma réponse et a rejoint le canapé avec un déhanchement
excessif. Je voyais ses fesses danser sous l’étoffe, c’était la plus belle
chose que je n'avais jamais vue en vrai. En s’asseyant, elle a carrément ouvert
son peignoir, me dévoilant l’intégralité de sa splendide poitrine. La veuve
noire avait terminé de tisser sa toile et sa proie était prête à tomber dans
son piège.
Après
une dernière hésitation, j’ai pénétré dans le salon et me suis assis sur le
canapé, laissant un bon mètre entre nous. Elle s’est aussitôt collée à moi et du
bout de l'index a lissé le pourtour de mes lèvres. Le contact était
anormalement froid.
-
Tu sais, il ne faut pas croire tout ce que t’as dit mon fils.
-
Comme…quoi ? ai-je balbutié.
-
La mort, la vie, la haine, l’amour, tout ça.
Sa
voix était chaude, magnifiquement sensuelle. Quand j’y repense, je n’étais pas vraiment
là pour débattre avec Aurélien de ma théorie sur la résurrection à temps
partiel de sa mère, mais pour vérifier son propos sur l’activité sexuelle de sa
splendide génitrice.
-
Je…je ne vous comprends pas.
Son
doigt a quitté mes lèvres et a lissé mes joues. Le toucher était toujours aussi
froid, mais très agréable, très doux. Des petits coups d’œil discrets sur ses
magnifiques seins empêchaient toutes pensées rationnelles. À mon tour, je
n’étais plus qu’un grand frisson désirant assouvir des désirs forts légitimes
pour un jeune homme qu'une femme mature pouvait décomplexer.
-
Ce n’est pas grave, tu le comprends sans doute plus tard, quand j’aurais fait
de toi un homme.
Sa
main s’est alors doucement fermée sur mon cou. J’aurais dû réagir, mais je n’ai
fait que pousser d’ineptes gargouillis, regardant comme un niais ses beaux
nichons aux tétons dressés. Je dois l’avouer, je serais resté des heures entières
à les mater et je n’avais encore pas conscience que la veuve noire était entrée
en action et que ma vie était vraiment en danger.
Elle
m’a lâché le cou en poussant un petit rire strident. Trente secondes plus tard,
j’étais allongé sur le canapé, le jean et le caleçon à mi-cuisses, sa tête
entre mes jambes, me suçant avidement l’instrument à plaisir. Inutile de vous
expliquer mon ressenti, bien que sur la fin ses mordillements ont empêché ma
jouissance. Puis elle s’est levée, a fait tomber son peignoir, est montée sur
moi et m’a fait l’amour en dandinant son bassin d’une façon voluptueuse au
début, plus brutale ensuite. Le contact était glacé entre ses cuisses, ses
mouvements saccadés m’empêchaient d’atteindre le paradis. J’ai alors compris
qu’elle faisait durer son plaisir, se servant de moi comme bon lui semblait.
Elle poussait d’adorables petits cris, mais des sons gutturaux ont fini par
prendre le relais.
Une
ombre a glissé sur sa peau qui s’est progressivement assombrie. Ses paupières ont
disparu au fur et à mesure que ses yeux grossissaient. J’ai hurlé en me
débattant, mais impossible de m’échapper, j’étais prisonnier de ses cuisses.
Ses seins se sont comme dégonflés, un liquide jaunâtre a suinté de ses tétons,
des gouttes huileuses sont tombées sur mon torse. C’était dégueulasse, j’avais
envie de vomir, surtout qu’une odeur nauséabonde se répandait sur moi comme une
épaisse tartine de gélatine. Mélissa s’est alors penchée pour m’embrasser, ses
yeux globuleux fixés sur mon visage. Elle a ouvert la bouche et a sorti une
langue verdâtre. Dessus, des asticots gigotaient nerveusement.
Horrifié,
j’ai tourné la tête et j’ai senti sa langue glisser sur ma joue, sentant aussi le
chatouillement des vers. Son corps s’est mis à trembler et elle a poussé une
suite de cris rauques. Quand son sexe s’est contracté, j’avoue aussi avoir joui.
Anesthésié par le plaisir, je n’ai pas immédiatement senti ses dents s’enfoncer
dans ma joue.
Je
ne sais pas comment j’ai réussi à me défaire de son emprise. Ma dernière vision
a été celle d'un cadavre qui mâchait frénétiquement mon morceau de joue. Puis
je ne sais plus trop ce qui s’est passé, comment je suis arrivé chez moi, la
durée de mon séjour à l’hôpital psychiatrique. Mes jours, mes nuits étaient hantées
par d’affreux cauchemars et je délirais dès que mes médicaments ne faisaient
plus effet.
Peu
après ma sortie de l’hôpital, j’ai appris la disparition d’un de mes copains. J’ai
pensé qu’il avait fait une fugue, car c’était un type instable. Aussi, je
n’avais pas porté plainte contre la veuve noire, ne me voyant pas dire aux flics
que j’avais été dépucelé par un cadavre en décomposition.
Le
déménagement précipité de mon meilleur pote a coïncidé avec une seconde
disparition, celle d’un jeune homme du lycée voisin. Des mois durant j’ai suivi
cette affaire, mais les corps des deux disparus n’ont jamais été retrouvés. Je
n'ose imaginer ce qui leur est arrivé. Je me sens si lâche de ne rien avoir dit
aux autorités et je préfère penser que ce sont juste des fugueurs qui ne
veulent plus revoir leur famille.
Encore
aujourd’hui, je me pose deux questions : pourquoi ne suis-je pas mort
entre les pattes de la veuve noire ? Est-ce qu'Aurélien m’a sauvé de ses
griffes ? C’est ce que je m’efforce de croire quand j’éteins ma lumière, mais
aussitôt, je sens le poids d’un cadavre peser sur mon bassin.
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2018@Gebel de Gebhardt Stéphane.
Ce texte est libre de partage.
Je pense que je vais pas rajouter de commentaire personnel à chaque fois que je corrige, vu que tu as déjà mon avis sur tes histoires ^^
RépondreSupprimerSinon voilà pour la correction (je pense rajouter le nombre de lignes à chaque fois, ce sera plus simple pour toi ^^) :
Première ligne : vue*
Ligne 30 : sauter une ligne après les "..." et rajouter une majuscule à "elle"
Ligne 34 : il manque le "é" à "obéit", j'ai entendu dire qu'il ne fallait pas mettre d'accents quand c'est en majuscules mais je précise quand même au cas où ce n'est pas le cas
Ligne 90 : rendue*
(D'ailleurs le nombre de lignes est inutile si tu corrigera ça sur ordi', désolé)
Ligne 110 : ajouter une virgule avant "ta mère"
Ligne 113 : ajouter une virgule avant "même"
Ligne 147 : apeuré*
Ligne 165 : ma mère* je ne sais pas si c'est dans le cas où il l'appelle "mère" ou si c'est une faute de frappe
Ligne ??? (Désolée j'ai perdu le nombre où j'en étais) tu le comprendra*
Ligne ??? : mes jours et mes nuits* la virgule aurait été utilisée seulement si il y avait au moins 3 sujets
Voilà :3
Jusqu'ici c'est la plus hard de tes creepy que j'ai lu je crois. Niveau creepy on est sur un très très très très haut level ;) chapeau l'écrivain horrifique !
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